Un sauvage qui ne l’est pas…
Comment s’appeler « Sauvage » lorsque le but est de glander le plus possible loin des enquêtes de terrain ? Élisa Vix a voulu jouer de l’oxymore pour faire sourire tout en construisant une intrigue qui oblige le lecteur(e) à poursuivre les investigations malgré cette figure de « détective » qui repousse au loin toute possibilité d’identification. Un peu « macho », un peu fainéant, un peu « mauvais père », un peu compassionnel et pas plus sympathique pour autant. Un inspecteur « normal », un peu trop. Continuer la lecture