Bonjour,
Bonne année… on ne sait jamais.
En ce début d’année je ne dérogerai pas à la coutume. Bilan et perspective, bilan de l’année écoulée avec deux grandes questions : la reprise économique qui atteint, en France, plus de 6% et l’inflation – la hausse des prix – très élevée aux États-Unis – un peu moins dans la zone euro – qui suscite beaucoup d’interrogations.
Le contexte financier est toujours au beau fixe. les indices – CAC40 pour la Bourse de Oaris, Dow Jones pour New York – volent de records en records avec des paliers de baisse sans susciter le moindre commentaire. La distribution de bénéfice, les dividendes, n’ont jamais été aussi élevée démontrant que les capitalistes n’investissent pas dans la production. L’accumulation du capital est essentiellement financière.
La politique budgétaire continue d’être expansive malgré les déclarations des gouvernements. La négociation autour des traités européens, suspendus depuis 2020, devraient indiquer l’orientation future de la politique économique.
La politique monétaire des banques centrales est au menu de l’année qui commence. La FED – la banque de réserve américaine – a décidé d’arrêter doucement la quantitative easing (Q/E) qui se traduit par l’arrêt de la création monétaire pour racheter les Bons du Trésor du gouvernement. Les taux d’intérêt devraient un peu augmenter.
La BCE reste en retrait pour le moment.
2022 se présente pleine de points d’interrogation.
Nous essaierons de relier tous ces questions pour déterminer une image des sociétés en cette année électorale en France et aux États-Unis notamment.
DE 17 à 19h, Campus 2 amphi S3 057
Nicolas