Annulation du cours de mercredi

Bonjour,

Les fantômes de New York resteront enfermés dans leur boîte? Iels – merci le Robert – ne seront pas content.e.s. Il faut s’attendre à des représailles la prochaine fois – le 2 février si le virus accepte de régresser – mais nous verrons bien. Invoquer des fantômes n’est pas sans risque.
Nicolas

En guise d’excuse, un extrait du concert de l’orchestre de Woody Herman à Carnegie Hall en 1946, « Blowin’ up a storm »

Annulation de mon cours ce mardi soir

Bonjour,

Ce soir comme vous, je serai frustré. Pas de cours d’éco alors que les marchés financiers entrent dans un moment de tourmente. Désolé de faire faux bond – belle expression, comment se figurer un bond en faux ? – mais je subis l’attaque d’un virus, qui n’est pas lié à la pandémie mais qui se traduit par la paralysie de la face, gauche bien sur !
On se retrouve le 22 février. En forme.
Nicolas

Polar historique, la révolution française revisitée

La révolution française au prisme du polar.

Anne Villemin-Sicherman continue la saga des enquêtes du vétérinaire Duroch sis dans l’Est de la France, du côté de Metz. « 1792, la femme rouge » nous projette dans la ville de Metz assiégée par les armées austro-prussiennes. Plus importantes en nombre que les armées de la révolution, mieux entraînées, mieux armées la victoire semble de leur côté. Par un coup de génie militaire, Kellerman à Valmy inversera la donne bien aidé par une dysenterie qui ravage les troupes ennemies. Continuer la lecture

Un essai littéraire

Une vraie-fausse autobiographie.

Une lettre, une simple lettre d’un fils à sa mère sans atours, sans mensonges ou pas trop, c’est la présentation qu’a choisi Kiese Laymon pour se raconter, raconter les États-Unis et la trajectoire d’un Africain-Américain dans le Sud profond où le racisme est permanent. Sa mère, universitaire, veut croire à la force de la culture, de l’instruction, de la connaissance qu’elle enseigne à son fils trop grand, trop gros, trop vite. Le titre originel, « Heavy » contient à lui seul tous les trop qui investissent la vie du pré ado et de l’ado, « Balèze », la traduction française bien trouvée, n’en retrace qu’une partie. Continuer la lecture

JAZZ : Rhoda Scott groove comme jamais


Girl Power

Rhoda Scott, organiste « aux pieds nus » faut-il le rappeler, 83 printemps, a construit un quartet de Lady toujours en devenir. Elle a décidé d’aller encore plus loin avec « Lady All Stars », un septet composé de la fine fleur du jazz en France. Sophie Alour, saxophone ténor, Céline Bonacina au saxophone baryton, Lisa Cat-Berro, Géraldine Laurent, les deux au saxophone alto dans des registres différents, Airelle Besson à la trompette et au bugle, Anne Paceo, Julie Saury aux batteries pour créer une musique joyeuse, revendicative, pleine de bruits de cette fureur contre un système capable de discréditer les femmes parce qu’elles sont femmes. En se regroupant, elles montrent aux yeux de tous qu’il est nécessaire de redécouvrir toutes les femmes oubliées enfouies sous le patriarcat ambiant. Des sensibilités différentes pour mettre en œuvre des compositions et arrangements de chacune pour jouer sur les questions réponses entre l’orgue et le petit grand orchestre comme un écrin pour les solistes. Continuer la lecture

Je vous présente toutes mes excuses

A toustes participant.e.s de l’UIA Économie politique.
Je vous présente toutes mes excuses pour mon absence de ce soir (17 janvier 2022) due à des problèmes de transport. Plusieurs défections dues à des causes aussi diverses que les personnes en sont à l’origine. J’ai bien essayé les transports en commun mais je me vu obligé de renoncer en raison de retards qui s’accumulaient. Je serai arrivé à la fumée des cierges – expression intéressant si on la creuse un peu.
Merci à toustes les présent.e.s. Je vous donne rendez vous pour le 31 janvier et à ceux et celles qui aiment le jazz – je promet de la musique.
pour l’économie, il faudra attendre février.

Bonne année même si elle commence vraiment mal.
Nicolas

UIA Caen le 17 janvier 2022 Économie politique

Bonjour,
Bonne année… on ne sait jamais.

En ce début d’année je ne dérogerai pas à la coutume. Bilan et perspective, bilan de l’année écoulée avec deux grandes questions : la reprise économique qui atteint, en France, plus de 6% et l’inflation – la hausse des prix – très élevée aux États-Unis – un peu moins dans la zone euro – qui suscite beaucoup d’interrogations.
Le contexte financier est toujours au beau fixe. les indices – CAC40 pour la Bourse de Oaris, Dow Jones pour New York – volent de records en records avec des paliers de baisse sans susciter le moindre commentaire. La distribution de bénéfice, les dividendes, n’ont jamais été aussi élevée démontrant que les capitalistes n’investissent pas dans la production. L’accumulation du capital est essentiellement financière.
La politique budgétaire continue d’être expansive malgré les déclarations des gouvernements. La négociation autour des traités européens, suspendus depuis 2020, devraient indiquer l’orientation future de la politique économique.
La politique monétaire des banques centrales est au menu de l’année qui commence. La FED – la banque de réserve américaine – a décidé d’arrêter doucement la quantitative easing (Q/E) qui se traduit par l’arrêt de la création monétaire pour racheter les Bons du Trésor du gouvernement. Les taux d’intérêt devraient un peu augmenter.
La BCE reste en retrait pour le moment.
2022 se présente pleine de points d’interrogation.
Nous essaierons de relier tous ces questions pour déterminer une image des sociétés en cette année électorale en France et aux États-Unis notamment.

DE 17 à 19h, Campus 2 amphi S3 057

Nicolas

Les premiers temps de l’enregistrement


Pochette du disque 33 tours, « Saydisc », consacré au « Cylinder Jazz, volume One, « early jazz and ragtime recordings from Phonograph cylinders 1897-1928 », qui montre et les cylindres et la machine qui permettait la lecture appelée déjà phonographe. Cette modalité allait perdurer malgré le 78 tours. Sans doute une photo publicitaire. La pochette n’indique pas d’auteur de la photo.

En réponse à ma question, Jacques Fouquoire écrit :
En réalité – du moins à ma connaissance – il s’agit d’une gravure publicitaire de la compagnie de Thomas Edison éditée sous 2 formes; la première est une affiche que l’on mettait dans une vitrine de magasin et la deuxième forme est une carte postale et sous le titre se trouve un texte sur l’histoire de l’invention du phonographe par Edison. Entre les 2 formats les gravures diffèrent légèrement par la dimension du pavillon. Elles ne sont pas, apparemment, signées.Je ne connais pas la date précise d’édition mais elles datent des années 1900. Je saisqu’on a imprimé des reproductions vers 1972.