Un rendez-vous raté

Je vous avais donné rendez-vous au café Mancel, samedi 18 mai pour vous présenter les nouveautés. j’avais préparé une sorte de rétrospective du style « vocalese » illustré par Jon Hendricks, invité exceptionnel à Coutances cette année.

Patatras… Une réunion bruyante m’a empêché de présenter cette préparation. Ils et elles oint du temps a s’en aller et je n’avais pas prévu de micro. Du coup, je n’arrivais pas à me faire entendre.

Ce sera pour une prochaine fois mais cette année (scolaire s’entend).

Il faudra donc attendre l’année prochaine…

J’envisage, plutôt que  e présenter uniquement les nouveautés de vous proposer des thèmes.

Dites moi ce que vous en pensez et si le samedi 17h est un bon jour.

 

Merci.

 

Nicolas.

Université populaire économie de mardi 21 mai 2013

Université populaire économie.

Notre prochain rendez-vous, mardi 21 mai, au Panta Théâtre de 17h30 à 19h30 comme d’habitude. On restera au sein de l’Union Européenne après la conférence de presse du,président de la République et sa proposition d’un gouvernement économique de la zone euro, proposition accueillie avec scepticisme par le gouvernement allemand. il faut dire que Sarko l’avait déjà faite.

Au même moment, la taxe Tobim et les accords de Bâle 3 devraient se mettre en place. Le monde de la finance les refuse, bloque toutes les possibilités de limiter les effets de la crise financière et économique.

L’imagination n’est pas au pouvoir. Au moment où le monde en a besoin.

Par contre la corruption est en train de bloquer le fonctionnement de toutes les institutions…

A mardi pour regarder un monde en pleine transmutation.

 

Nicolas Béniès.

Un rendez-vous exceptionnel, le 6 juin 2013, café mancel

Autour des débarquements du jazz

Le 6 juin 1944, les troupes alliées débarquent. la mer est rouge du sang de tous ces jeunes gens venus mourir sur les plages de Normandie. Il faudra attendre le 12 juin pour que les soldats noirs débarquent… Jon Hendriks en faisait partie…

Le jazz débarque en même temps. Le bebop est le nom de la nouvelle révolution esthétique qui bouleversera le monde et la France en particulier. Une bataille d’Hernani partagera la jeune génération d’alors entre les tenants du « vrai » jazz et les partisans du bebop.

La génération précédente, celle de l’entre deux guerres, avait connu la première révolution esthétique, celle de la connaissance du jazz. Les surréalistes, comme les dadaïstes ou Cocteau n’en sortiront pas indemnes. Leur vie en sera changée.

Ce 6 juin, un peu en avance par rapport aux commémorations prévues l’an prochain pour le 70e, je vous propose de revenir sur ces deux débarquements permettant de visiter l’histoire du jazz mêlée à l’histoire tout court, les rapports entre le jazz, la chanson française et la littérature. Pour appréhender l’importance du jazz non seulement comme culture commune du 20e siècle mais aussi dans sa capacité à représenter le monde par l’accumulation de chefs d’œuvre.

Au Café Mancel, jeudi 6 juin, de 15h à 18h pour ce voyage dans le temps, dans l’espace et dans une part de notre histoire.

On ne perdra pas l’occasion de parler radio et de rendre hommage à Sim Copans dont l’histoire personnelle s’est trouvé en phase avec celle du débarquement – comme celle de Louis Guilloux dont on parlera via son roman « OK Joe » – et celle de la radio française par la création des émissions de jazz sur les ondes nationales, la RTF à l’époque.

Nicolas Béniès.

Université populaire, séminaire économie

Mardi 14 mai, au Panta Théâtre, 17h30 – 19h30, reprise des cours d’économie, avec, au programme, les raisons du changement de climat en Europe, mais celui qu’il fait – résultat d’une crise climatique de grande ampleur – mais celui qui participe de la manière de ressentir l’évolution du monde et de réagir. La dernière fois, j’avais souligné le décalage, a priori paradoxal, entre les prévisions macro économiques de récession touchant toute la zone euro et la progression des Bourse s’expliquant par le regard porté sur l’économie. La récession provient directement de la désagrégation industrielle, des effets de la crise systémique – globale – vécue par le capitalisme tandis que les opérateurs boursiers considèrent le court terme et les résultats micro économiques qui peuvent laisser croire que les profits sont en hausse. la spéculation fait le reste. Jusqu’à un certain point. A trop franchir les limites, le choc sera brutal. Et il aura lieu.

Nicolas Béniès.

Une semaine chargée

Bonjour,

Une semaine qui semblera ne pas en finir.

Début mardi 26 mars, 17h30 – 19h30, Panta Théâtre, reprise des cours d’économie. L’actualité est riche à commencer par Chypre et la suite du feuilleton « crise de l’euro ». Il sera temps de fair ele point sur la situation géopolitique et économique d’un monde en train de subir une grande mutation.

Mercredi 27 mars, 18h – 19h, au Café Mancel, dernière session de l’année sur Chicago, en forme de synthèse (voir aussi mon « work in progress » sur les séminaires de l’année) pour entendre du blues, du jazz. Pour aller à la découverte de musicien(ne)s qui, pour la plupart, ont subi l’enseignement du capitaine Dyett à la Du Sable. Le parcours est semblable pour Johnny Griffin, Gene Ammons et beaucoup d’autres parmi lesquelles il faut compter beaucoup de saxophonistes.

Je vous propose aussi un petit voyage dans les nouveautés jazz, samedi 30 mars, de 17h à 18h, plus si affinité… au Café Mancel toujours. Pour finir la semaine en beauté, forcément en beauté.

Université populaire jazz, mercredi 13 mars 2013, reportée au 20 mars

Le rendez-vous de la semaine

 

Mercredi 13 mars à 18 heures (jusqu’à 19h30) au Café Mancel pour un nouveau voyage vers et dans Chicago.Le cours est annulé, la neige s’incruste et la fin de la journée pourrait être marquée par des gelées. Autant ne pas prendre de risque. Le séminaire est reporté à la semaine prochaine le 20, qu’on se le dise…

Cette semaine, aller retour entre blues et jazz à travers quelques labels indépendants, Chess – et sa sous marque Argo devenu Cadet -, Vee-Jay, premier label créé par des Noirs qui enregistrera à la fois du blues, du jazz et de la « pop music » – appelée « soul » dans la grande époque des années 60.

Ces labels sont essentiels pour appréhender l’histoire, la mémoire du jazz. Sans eux pas de Muddy Waters, pas non plus de premiers enregistrements de Wayne Shorter et Lee Morgan, le saxophoniste-compositeur et le trompettiste-compositeur faisaient partie des Jazz Messengers d’Art Blakey.

Une sorte de lecture de cette effervescence du jazz et du blues qui marque les années 50. Les liens entre les deux sont perceptibles. Et Chicago est une des Villes où s’effectuent ces créations via les « studios » d’enregistrement. Pour le blues ce sont souvent des arrières cuisines. les frères Chess, venant d ‘Europe de l’est – il faut lire les descriptions et interviews de Peter Guralnick dans « Feel like going home », traduction française Rivages Rouge – et partageant les mêmes peurs des esprits que les bluesmen. Une communauté de croyances qui montre que la distinction de couleur n’a aucun sens…

Pour suivre les développements de cette saga de Chicago, voir mon « résumé », sorte de work in progress…

A mercredi. Sauf si la neige persiste…

 

Nicolas Béniès.

Rendez-vous de la semaine.

Bonjour,

 

Mercredi 20 février 2013 de 18h à 19h45 ou 20h – pour rattraper le cours écourté (joli nom ?) d’il y a 15 jours – rendez-vous au Café Mancel pour repartir à Chicago en compagnie de Booker Little et de quelques autres qui viennent de Memphis. Je suis en train d’écrire – un work in progress – une sorte de résumé en forme de contrepoint des séminaires que vous pouvez consulter sur ce même site.

Samedi 23 février, juste avant les vacances – en souhaitant qu’il n’y ait un concert gratuit que je n’aurai pas noté -, pour un voyage dans les nouveautés du jazz de 17h à 18h et plus si affinités… Ne pas hésiter à me dire si le jour, l’heure ne sont pas bien choisie et me faire quelques propositions. Merci.

Bonnes vacances.