Histoires des Etats-Unis et de France.

« Toute histoire est vraie ».

John Edgar Wideman n’écrit pas vraiment des romans. Plutôt des contes qui se passent souvent dans les ghettos noirs de Pittsburgh ou de Philadelphie. Il fait de ses histoires, autobiographiques, biographiques, rêvées ou réelles peu importe, la trame de ses récits. La mémoire est le lieu principal qu’il visite encore et encore. Une mémoire à la fois individuelle et collective. Les Africains-Américains vivent sous le joug de leurs rapports avec les Blancs et sont le centre de cette société américaine qui fait du racisme une de ses composantes essentielles. Encore aujourd’hui, en 2017. Continuer la lecture