Lyon, 1920.
Odile Bouhier s’est lancée dans l’écriture d’une série. Le premier – dont nous avons parlé – « Le sang des bistanclaques » présentait à la fois les personnages récurrents, Kolvair, commissaire amputé d’une jambe, la guerre est passée par-là, Salacan, professeur qui jettent les bases d’une police scientifique et les conditions de travail de ces salariées des usines textiles.
Dans ce deuxième opus au titre énigmatique, « De mal à personne », les enquêteurs doivent élucider le meurtre d’un magnat de l’industrie tué à l’arme blanche dans l’arrière cour de la cuisine d’un hôtel. Il était connu pour ses viols répétés de ses employées et d’autres. Continuer la lecture