Les statistiques sont claires et presque sans appel : la parution des romans est revue à la baisse, tendance déjà constatée depuis la pandémie. Un peu plus de 450 au lieu des plus de 500 (550 en 2019). Un nombre qui reste au-delà des capacités d’un lecteur même hors-norme. Une majorité restera en jachère. Certains seront repêchés, et trouveront leur public.
Comment interpréter cette baisse relative programmée voulue par les éditeurs ? Certains critiques incriminent la baisse de la lecture mais force est de constater que l’attrait du livre comme objet ne se dément pas malgré tous les progrès du numérique. La conséquence plutôt de la baisse du pouvoir d’achat qui se traduit par une transformation profonde, affectant le genre de vie, des habitudes de consommation.
Commençons par un livre de poche (pas sur qu’il soit compris dans la statistique…)
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