Un titre accrocheur, « L’affaire Magritte », pour une rédemption, une sortie de dépression de l’enquêteur Alex Berger confronté à des meurtres étranges qui proviennent d’un autre temps.
Que vient donc faire le peintre belge surréaliste dans cette histoire ? Le spécialiste des visages en forme de chapeau, de trou ou qui n’arrivent pas à se rapprocher séparés et unis, l’utilisateur de la dialectique et de la psychanalyse freudienne sert-il de fil directeur ? Toni Coppers se sert de sa connaissance du peintre pour faire surgir des liens étranges entre l’assassin et l’enquêteur. Continuer la lecture