Du côté des États-Unis et des années 1920.
F. Scott Fitzgerald (24 septembre 1896 – 21 décembre 1940) s’est voulu l’écrivain de ces « roaring twenties », avec son lot de « Party » et d’alcool frelaté. Mais aussi de jazz. Le jazz qui rythme ces débuts du 20e siècle, de ce jazz qui envahit les grandes villes. Les danses sont toutes issues de cette musique syncopée que ce soit le one-step, le two-step ou le fox-trot qui servira de concept générique pour toute danse « jazzée ». Les comédies musicales tiennent le haut du pavé. Tous les grands compositeurs sont influencés par le jazz.
Les grandes fortunes rapides des gangsters venus des ghettos juifs ou italiens des grandes villes américaines ont changé la physionomie de cette société. L’intégration pour Américains à trait d’union passait soit par le sport, la musique – le jazz – ou le gangstérisme. Une soif de respectabilité habitait ces nouveaux riches. Ils voulaient copier la « bonne » société américaine, ces WASP, pour White, Anglo Saxon, Protestant qui occupaient le devant de la scène.
Cette aspiration fait la trame de Gatsby le magnifique », « The Great Gatsby », et le rêve ou le cauchemar de Scott Fitzgerald lui-même. Continuer la lecture