Une mise en abyme.
Mitch Miller, pour son premier roman, a fait appel à une autre personnalité, Ian Fleming pour cette « Opération Fleming » qui mérite bien son titre, à la fois pour la référence à cet auteur connu et pour la manière de mener l’intrigue. Pour mémoire, cet ancien agent secret de Sa Gracieuse Majesté est l’auteur de la série des James Bond, inspiré, comme ceux de Gérard de Villiers, par l’actualité. Les personnages transposés sur l’écran donnent l’impression d’être des marionnettes dans un environnement souvent abstrait alors que ceux de Fleming sont vivants sauf « Bond, James Bond », un alcoolique invétéré suivant les dernières recherches. Continuer la lecture