Bonjour,
Les vacances n’ont rien arrangé. L’incertitude demeure. Pas seulement du fait des élections présidentielles françaises qui restent ouvertes. Même pas à cause de Trump qui rêve aux attentats, à sa gloire en construisant une réalité à côté de la réalité. Un vieil rêve des dictateurs de toute espèce. Il voit des attentats, en Suède – pourquoi la Suède ? – et ne publie aucun communiqué d’excuses… Les Étasuniens croyait élire un président, ils ont mis aux postes de commande une pythie, de celle qui prévoit ce qui n’arrive pas. Il embrouille la lisibilité du monde, un monde déjà difficile à décrypter.
Le reste du contexte est à l’avenant. Theresa May s’arc-boute sur le Brexit… pour gagner les élections, vacance du pouvoir quasiment en Italie, L’UE en crise profonde de légitimité, scandales, corruption un peu partout dans le monde…
Les instituts de conjoncture font le pari qu’en disant que « ça va mieux » – l’antienne de François Hollande pendant un temps où ça allait de mal en pis -, ça ira mieux. Pourtant rien n’est réglé. Pire encore, le changement de politique monétaire des banques centrales peuvent avoir des effets d’implosion des marchés financiers. La montée du Dow Jones recèle des risques important de chute.
Il nous faudra revenir sur ce contexte et expliquer la remontée des CDS…
A lundi 17h à l’amphi 500, Campus 2.
Nicolas.